Montréal (Québec), le 20 mai 2016 – À la lumière du Plan d’action en économie numérique déposé aujourd’hui par la ministre Anglade, l’Association québécoise des technologies (AQT) prend acte de cette nette avancée qui permet au Québec de joindre à son tour les pays de l’OCDE dans la mise en place d’une politique numérique. L’AQT a souligné à maintes reprises l’importance qu’une telle politique aura sur le développement de nos entreprises du secteur des TIC au Québec et par conséquent sur notre économie. C’est pour cette raison que depuis le début des consultations, nous contribuons pleinement à faire de cette politique un catalyseur pour que le savoir-faire de nos entreprises soit mis à contribution, une des avenues qu’offre le plan d’action présenté ce matin. Il était essentiel que le Québec statue sur les grands principes conducteurs d’une politique numérique par une vision globale couvrant des priorités sociales, environnementales et économiques.
L’ensemble du Plan d’action en économie numérique est disponible en ligne.
Le plan d’action en économie numérique est certes un outil de changement important, il servira à orienter et à prioriser les actions à entreprendre et à les baliser. Il sera aussi l’occasion de créer un écosystème qui accélérera l’innovation et l’adoption des technologies pour que le Québec dans lequel nous évoluons puisse changer, reprenant ainsi le retard cumulé vis-à-vis des impératifs de l’économie numérique et de cette 4e révolution industrielle. Pour ce faire, nous croyons à l’AQT, que nous disposons d’un potentiel hors du commun avec nos 2 000 entreprises qui depuis des décennies innovent en développant des solutions technologiques qui ont fait la réputation du Québec partout sur la planète.
Toutefois, nous considérons que c’est maintenant que le travail débute pour développer les mécanismes qui permettront d’arrimer notre fonds commun collectif en technologie à ce grand chantier. « Je crois que tous les acteurs qui ont pris part à ce projet sont conscients que la politique numérique présentée se doit d’évoluer pour qu’elle acquière la force de traction nécessaire à notre économie », souligne Mme Nicole Martel, présidente-directrice générale de l’Association québécoise des technologies. « Nous sommes persuadés que le leadership de la ministre Anglade saura faire de cette nouvelle politique un levier économique important qui positionnera avantageusement le savoir-faire de nos entreprises pour notre bien collectif ».
Rappelons qu’en plus de sa participation au groupe-conseil en économie numérique, l’AQT a déposé un mémoire en novembre dernier proposant des aménagements à la nouvelle politique, susceptibles de donner un élan à une industrie qui fait face à une concurrence féroce tous azimuts. L’AQT continuera son travail de représentation pour veiller à la bonne mise en œuvre.
Pour consulter le mémoire de l’AQT du 24 novembre 2015, télécharger-le ici.
L’Association québécoise des technologies (AQT) contribue, à l’échelle du Québec, au rayonnement des entreprises de l’industrie des technologies de l’information et des communications (TIC), en tant que représentante sectorielle. Elle appuie plus de 1500 dirigeants d’entreprises dans le développement de leurs compétences et dans la croissance de leur organisation et favorise l’évolution des pratiques commerciales en représentant l’ensemble de l’industrie auprès d’instances et organismes décisionnels. Organisme à but non lucratif et autofinancé, l’AQT constitue aujourd’hui le plus grand réseau d’affaires des TIC au Québec avec 500 entreprises membres. Pour en savoir plus: www.aqt.ca.
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Renseignements :
Viviane Couto — coordonnatrice de projets, communications
514 874-2667, poste 114 – vcouto@aqt.ca
Jean-Marc Simard – Simard Hamel Communications
514 287-9811, poste 15 – j.m.simard@shc.ca